le blog coeurdor par : Lyne
BELLE CITATION MAIS TELLEMENT VRAIE (avec une petite touche personnelle)
Si quelqu'un veut savoir qui me lie et m'enflamme,
Qui esclave a rendu ma franche liberté,
Et qui m'a asservi, c'est l'exquise beauté,
D'un homme que jour et nuit j'invoque et je réclame.
C'est Le feu, c'est Le noeud, qui lie ainsi mon âme,
Qui embrase mon coeur, et le tient garrotté
D'un lien si serré de ferme loyauté,
Qu'il ne saurait aimer ni servir autre Homme
Voilà le Feu, le Noeud, qui me brûle, et m'étreint
Voilà ce qui si fort à aimer me contraint
Celui à qui j'ai voué amitié éternelle,
Telle que ni le temps ni la mort ne sauront
Consommer ni dissoudre un lien si étroit
De la sainte union de mon amour fidèle.
Si quelqu'un veut savoir qui me lie et m'enflamme,
Qui esclave a rendu ma franche liberté,
Et qui m'a asservi, c'est l'exquise beauté,
D'un homme que jour et nuit j'invoque et je réclame.
C'est Le feu, c'est Le noeud, qui lie ainsi mon âme,
Qui embrase mon coeur, et le tient garrotté
D'un lien si serré de ferme loyauté,
Qu'il ne saurait aimer ni servir autre Homme
Voilà le Feu, le Noeud, qui me brûle, et m'étreint
Voilà ce qui si fort à aimer me contraint
Celui à qui j'ai voué amitié éternelle,
Telle que ni le temps ni la mort ne sauront
Consommer ni dissoudre un lien si étroit
De la sainte union de mon amour fidèle.
Mer 11 jan 2006
2 commentaires
bonsoir Coeur d'or , je te remercie deja de ta visite sur mon blog , j'ai lu tes textes , ils me plaise beaucoup , j'espère que tu trouvera ton Maître , un bon Maître qui sache t'aimer comme il se doit ...je t'embrasse circé
circé - le 12/01/2006 à 21h19
La limite de la grandeur des plaisirs est l'élimination de tout ce qui provoque la douleur, là en effet où ce trouve le plaisir, et aussi longtemps qu'il s'y trouve, il y a absence de douleur ou de chagrin ou des deux à la fois
Epicure